Sur l’île singulier d’Ankhyra, baignée par la lumière or du crépuscule, la prêtresse Callista s’agenouillait au borne de la falaise, scrutant l’horizon absolu. Chaque nuit, elle attendait le chant des voix venues des au plus bas, ce murmure marin que seule elle pouvait adopter. Ces mélodies divergents, tissées dans le https://louisewoeu.fare-blog.com/33981189/les-houle-immobiles