Le train filait à travers la nuit, ses roues d’acier glissant sur les rails avec un calme presque irréel. Aucun panneau, aucun paysage clartés ne défilait par la fenêtre, notamment si la locomotive traversait un espace suspendu entre le tangible et l’inconnu. Le passager sentit le wagon pervibrer lentement par-dessous https://charlienaipw.yomoblog.com/40472704/les-ombrages-du-épine