En 2150, à Dubaï, les nîmes de cristal se dressaient tels que des aiguilles plantées du ciel, immobiles et froides. Parmi elles, la plus très grande n’avait ni dénomination ni logo. Seuls celui qui en franchissaient les portes connaissaient sa fonction : estomper le destin. Dans un milieu saturé d’algorithmes https://codyeytmf.blogchaat.com/34041294/les-échos-de-la-destinee-effacé