À Orléans, en l’an 2222, la ville ne vibrait plus que sous le chant grave des appareils. L’air lui-même semblait scellé dans un indélébile vacarme métallisé, rompu seulement par le chuintement des véhicules autonomes et les murmures encodés des interfaces holographiques. Dans ce décor ultramoderne, un lieu jurait avec la https://johnf677njd2.madmouseblog.com/14710065/les-circuits-de-la-épouvante