Les jours passaient dans un élégance intemporelle, en présence de la lumière pâle du nord et les diversiond ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient mollement, en spirale, comme par exemple si le ciel lui-même les désirait à bien extérioriser des symboles incorporels. L’enfant, désormais adolescente, se tenait chaque matin https://stephendebwr.bloggazzo.com/33271848/le-cercle-abîmer